Une verrière dans ma cuisine

Une verrière dans ma cuisine

On en a déjà parlé, et c’est toujours super tendance. Avec ses atouts en terme de luminosité et de caractère, la verrière séduit le plus grand nombre, notamment dans les cuisines.

Le bon compromis entre cuisine ouverte et fermée

Cuisine ouverte ou fermée, pourquoi choisir ? La verrière permet de fermer la cuisine pour empêcher de laisser passer les odeurs et le bruit tout en restant à la vue des personnes qui se trouvent dans les pièces d’à côté. Elle permet également d’optimiser la lumière naturelle. Enfin, côté style, elle apporte du caractère…

Une verrière, des formes différentes

On peut la choisir insérée dans le mur comme une grande fenêtre. C’est la version « petit budget ». Pour plus de personnalité, on optera pour la construction d’un muret d’environ un mètre de haut sur lequel on installera une verrière qui se prolongera jusqu’au plafond. Pour encore plus de style, on eut remplacer la totalité d’un an de mur par une verrière du sol au plafond. On peut aussi décider que la porte de séparation entre la cuisine et la pièce à vivre soit typée verrière. Dans ce cas-là, on la choisira battante ou coulissante selon l’espace et l’isolation souhaitée. ( Notez que la version coulissante laissera davantage passer le bruit et les odeurs.)
Pour le vitrage, on optera pour des vitres claires qui laisseront passer le regard ou, au contraire, dépoli ou martelé si la verrière ne doit pas laisser voir l’électroménager d’un côté ou le bureau ou la chambre de l’autre.

Indus, campagnard, contemporain… une verrière pour tous les styles

Naturellement, quand on parle verrière, on pense au loft new yorkais, au style indus. Pourtant, en fonction de sa forme, de sa couleur et du matériau choisi, elle permettra un look tout à fait différent… En métal noir, elle ira parfaitement dans un appartement au look atelier d’artiste ; en métal rouillé, elle fera plutôt nature façon orangerie. Par contre, si vous optez pour une armature en bois peint en blanc, elle sera parfaite dans une atmosphère campagnarde, alors qu’en conservant un aspects bois naturel, elle s’intégrera parfaitement dans une maison au style classique chic. Autre déclinaison, vous pouvez la peindre de la même couleur que le mur ou que les meubles de la cuisine pour une déco contemporaine.

Vous hésitez toujours ? Allez en parler avec les conseillers Batiman Comipa Pau Lons, échangez avec eux sur vos inquiétudes, vos questionnements…

Escaliers – les normes de sécurité

Escaliers – les normes de sécurité

Tous les ans, les accidents dans les escaliers chez le particuliers comme dans le domaine public, sont nombreux. Aussi, il est important de suivre à la lettres les normes de sécurité lors de la pose.

Chez le particulier

Pour les lieux d’habitation, les normes de sécurité des escaliers ne sont pas obligatoires. Pourtant, il est souhaitable de les respecter pour éviter les chutes (et que leur utilisation soit plus aisée).
Les marches :
– Hauteur entre toutes les marches : entre 16 et 21 cm ;
– Echappée : au moins 190 cm ;
– Giron : se situe entre 21 et 32 cm ;
– Emmarchement : plus de 70 cm.
Le garde-corps :
– Hauteur d’au moins 90 cm ;
– Situé à 11 cm entre la lisse basse et l’appui sur l’escalier.
Le palier :
– Si l’escalier compte plus de 25 marches, il faut préparer un palier de repos;
– Il est nécessaire de dimensionner la largeur de l’emmarchement du palier sur une longueur de 1 mètre ;
– Il faut également prévoir une main courante indépendante.

Dans le domaine public

– Les marches : hauteur égale ou inférieure à 16 cm ;
– Le garde-corps : pour un établissement scolaire, sa hauteur est de 100 cm et il est à lisses verticales;
– La contremarche : pour un recouvrement inférieur à 5 cm, elle est obligatoire ;
– Le nez de marche : être non glissant, pas de débord excessif, être de couleur différente ;
– La pente : 30° ;
– La volée : ne doit pas excéder 21 marches.

Contremarche : Panneau de bois vertical obturant l’espace entre 2 marches d’un escalier.
Emmarchement
: Largeur des marches, prise entre les deux limons d’un escalier.
Garde-corps :
Ensemble constitué de balustres et d’une main courante pour assurer une protection devant un vide.
Giron : 
Largeur de la marche d’un escalier mesurée de nez à nez sur la ligne de foulée.
Hauteur de marche : 
Distance mesurée entre les faces supérieures de 2 marches consécutives d’un escalier.
Echappée 
ou coup de tête : Hauteur libre à la verticale entre un nez de marche et le plafond, ou une autre marche de la volée supérieure ou tout élément de la construction. Elle ne doit pas être inférieure à 1,90m.
Volée : Ensemble de marches droites comprises entre deux paliers d’un escalier

 

Un îlot central dans ma cuisine

Un îlot central dans ma cuisine

On range quoi sous l’îlot ?

Certes, on dispose des éléments de cuisson et de lavage sur la surface de l’îlot, mais qu’en est-il de la place à optimiser dessous ? Bien plus pratique que des étagères, les grands tiroirs vont permettre de ranger tous les ustensiles à portée de main. On peut également penser à installer le lave-vaisselle, un mini-frigidaire ou congélateur à tiroirs ou encore une cave à vin.

On le met où l’îlot ?

Il faut être conscient qu’un îlot central ne peut pas être installé dans toute les cuisines car il requiert une surface généreuse (au moins 15 m²). Concrètement, derrière l’îlot, côté cuisine, il faut compter au minimum 60 cm pour passer mais au moins 80 cm pour pouvoir ouvrir confortablement les tiroirs. Pensez également que vous n’êtes pas seul(e) aux fourneaux… à deux, on prend forcément plus de place !
En terme de dimensions de l’îlot, au minimum, comptez 160 cm x 60 cm s’il n’est destiné qu’à la partie repas, et presque un mètre carré supplémentaire si vous y rajoutez un espace cuisson ou lavage. Traditionnellement, un îlot, comme son nom l’indique est parfaitement isolé et n’est pas rattaché aux autres éléments de cuisine, mais il peut également se présenter sous forme de L ou de T pour casser l’effet couloir de la pièce.

Besoin de conseils, rencontrez les vendeurs de Batiman Comipa qui vous proposeront les solutions adaptées à vos envies, votre mode de vie et la disposition de votre pièce.

 

Ménage de printemps, tout cacher dans les placards…

Ménage de printemps, tout cacher dans les placards…

Les maisons vivent et bougent avec vous…Mais parfois, difficile de trouver un coin de table basse, car celle si est noyée sous les revues, les clefs, les télécommandes.. Idem en cuisine. Alors vient le temps de penser aux petits rangements qui changent un intérieur.

Une des solutions est d’opter pour un rangement hiérarchique : deux ou trois box de rangement qui permettent de faire un tri plus approfondi dès que l’on en a le temps. Mieux encore : ni vu ni connu, derrière des portes de placard raccord avec votre déco, à l’entrée de votre séjour, installez une colonne ou un petit meuble, où chacun prendra l’habitude de déposer des affaires dans différents compartiments.

Choisir un mur dédié au rangement

Pour allier la déco et les lieux de rangements, vous pouvez choisir un mur de la pièce, pour y installer du mobilier fermé (avec portes) et ouvert (niches, étagères) : cacher ce qui doit l’être pour avoir une pièce rangée, mettre en valeur ce qu’il faut pour lui donner du cachet.
Il faut aussi penser vos rangements en fonction de vos déplacements dans la pièce.

Astuces en cas de manque de place

Autre idée : les murs séparateurs de pièces peuvent offrir des rangements, d’un côté c’est la bibliothèque du salon, de l’autre la penderie d’une chambre pour enfant….
Impossible de faire rentrer votre  table basse et un meuble tv ? Fixer votre télé sur la porte-rabat d’un coffre en bois : dans le coffre, vous pouvez installer tout le câblage tv et votre box. Pour regarder la télé, il suffit d’ouvrir le coffre et d’attapper la télécommande. Bien sûr, cela ne convient pas aux écrans géants.